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© Tata Sophie
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puisque l’avent est un temps de joie, quoi de mieux pour commencer ce calendrier que s’efforcer en ce jour de sourire à tout le monde, pour apporter de la force à son prochain. « Un sourire ne coute rien, mais il rapporte beaucoup ; il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne ». Sourire est un acte d’amour, alors en ce 1er décembre soyons généreux en sourires.
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Se mettre sur le chemin de l’avent, c’est se préparer à accueillir le Dieu tout amour et donc retrouver la pureté de nos cœurs d’enfants et notre capacité à s’émerveiller de tout ou de rien. Le bonheur c’est la capacité de s’émerveiller de choses simples, ne jamais s’habituer et être blasé, toujours garder notre cœur ouvert et faire de l’émerveillement son quotidien. Alors, en ce 2 décembre, émerveillons-nous de chaque chose, un levé ou un couché de soleil, des lumières, des décorations, tout ce qui nous touche et qui permet à notre âme de voir.
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La patience est le courage de la vertu et le pilier de la sagesse. La patience nous demande souvent des efforts et de la persévérance mais il en résulte tellement de bonheur. Elle peut être individuelle ou collective, et pour tout chrétien elle est essentielle à la foi. Être chrétien, c’est avoir la foi et l’espérance en l’avenir, mais la foi et l’espérance ont besoin de patience pour atteindre nos cœurs et y semer la vie. Alors, en ce 3 décembre, prenons patience, soyons patients dans tous nos gestes quotidiens, soyons patients avec nos proches, nos collègues de travail, avec les enfants, les personnes âgées, toutes les personnes qui ce jour là pourront profiter de notre ouverture de cœur et de notre foi.
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Espérer est le moteur de nos existences, et sur la route de l’avent, c’est plus puissant encore puisque notre foi est espérance. En Provence, le 4 décembre, comme le veut la tradition, pour la sainte Barbe, nous plantons le blé de l’espérance dans 3 petites coupelles. Cette légende héritée de la Rome et de la Grèce antique est une jolie image représentative d’espérance. Aujourd’hui la tradition se perpétue d’ailleurs grâce à l’association « le blé de l’espérance » qui récolte de l’argent issu de la vente de sachets de blé afin de financer des projets pour les enfants malades. Alors, en ce 4 décembre, plantons le blé pour ceux qui le font, et soyons porteurs d’espérance auprès de toutes les personnes que nous rencontrons pour illuminer ne serait ce qu’un instant leur vie et leur faire entrevoir une possibilité d’avenir.
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Aujourd’hui, en ce 5 décembre, prenons le temps d’appeler quelqu’un, une amie ou un membre de la famille que nous n’avons pas eu depuis longtemps. C’est le moment de prendre du recul sur nos relations et ressentir la satisfaction de renouer des liens et d’entretenir l’amitié ou l’amour dans nos cœurs.
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c’est la saint Nicolas, fête célébrée par un grand nombre de pays d’Europe. Le personnage de Saint Nicolas provient de Nicolas évêque de Myre, qui fut le protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles. Il fut bienveillant et généreux. Alors en ce 6 décembre, efforçons nous d’accorder de l’attention aux personnes vulnérables et aux enfants autour de nous pour leur apporter la lumière et l’espoir de l’avènement de Noël.
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Toutes nos relations sociales, quel qu’elles soient, sont bien souvent formatées, tronquées par les exigences de nos vies, nous faisant oublier la simplicité de certains gestes simples et pourtant si bénéfiques pour l’autre. Faire un compliment, si minime soit-il, c’est un geste immatériel, un acte gratuit et rapide qui provoque un sentiment agréable à l’autre, réconfortant et qui renforce son estime de soi et son amour propre. Nous sommes tous capables de retrouver notre cœur et notre spontanéité d’enfant pour prendre le temps de regarder l’autre et faire preuve d’altruisme et d’amour au quotidien. Alors en ce 7 décembre, soyons généreux en compliments sincères, comme des caresses verbales, moteurs de confiance et de relations épanouissantes.
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Le 8 décembre, c’est la fête de l’immaculée conception, dogme de l’Eglise catholique se rapportant à la conception de Marie sans péché. Sujet un peu polémique et controversé, mais ce n’est pas là l’important. Si l’on regarde plus simplement et plus profondément, cette notion d’immaculée conception, ce qui ressort, c’est surtout la disponibilité totale de Marie, ouverte à la parole de Dieu et à sa volonté, permettant l’accomplissement des desseins de Dieu par sa foi pure. Se rendre disponible à l’autre, c’est avoir de l’espace en soi pour l’accueillir et faire preuve d’empathie et d’amour. Alors en ce 8 décembre, faisons preuve de foi en nous rendant disponible pour autrui, enclins à l’ouverture d’esprit et en capacité d’apporter du bien et du positif à l’autre.
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La joie est un sentiment exaltant et de bonheur intense, une émotion agréable et profonde ressenti par toute la conscience. Nous avons tous besoin de joie dans nos vies, surtout dans la conjoncture actuelle où par culpabilité, nous fermons nos cœurs à l’accueil de la joie. Vivre et ressentir de la joie nous apporte de l’énergie et de la force pour affronter les moments du quotidien. Le pouvoir de la joie se dévoile lorsqu’on la partage et qu’elle se propage. Apporter de la joie à autrui n’est pas si difficile, il suffit d’accueillir en nous toutes les joies, les plus simples soient elles et d’avoir la volonté de les partager pour accroitre la puissance de vie en chacun. Alors en ce 9 décembre, qui plus est pendant cette période d’espérance qu’est l’avent, laissons-nous envahir par la lumière de cet avènement prochain en étant des porteurs de joie pour autrui. L’équipe d’Aineo vous propose d’ailleurs d’écouter son chant, « La lumière pleut sur nos cœurs » qui illustre tellement bien cette joie de Noël.
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Nous continuons sur le chemin de l’avent et c’est aujourd’hui le deuxième dimanche de l’avent. Sur ce calendrier de la bienveillance, il est important de prendre du recul et d’ouvrir notre regard sur l’autre. « On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux ». Les yeux sont le regard de l’âme et le regard l’expression de ce sens primordial, mais nous sommes tous acteurs de notre capacité à voir au-delà du simple regard. Alors en ce 10 décembre, ouvrons notre regard pour voir au-delà des apparences, sans préjugés, avec notre cœur, et laissons la bienveillance de notre regard illuminer l’autre et faire qu’il se sente bien par notre seul regard.
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Nous vivons tous dans une société ou l’on est poussé à une communication hyper connectée, avec une dichotomie entre la notion de rapprochement des gens à travers le monde par les écrans, via les réseaux sociaux et internet, et paradoxalement un éloignement physique de l’autre, un repli sur soi, une coupure avec le réel. Nous croyons sincèrement être dans le juste et le bien en restant connectés, mais l’excès d’écran nous entraine dans le virtuel à un désinvestissement de la relation à autrui et à la désocialisation. Alors en ce 11 décembre, efforçons-nous de limiter notre temps d’écran, sur les réseaux, sur les jeux, sur internet, pour revenir à l’essentiel, l’ouverture de notre regard sur l’autre et une communication bienveillante de partage et d’amour.
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« Les paroles s’envolent, les écrits restent » …. Expression qui à la base incite à la prudence en rappelant que les écrits peuvent laisser des traces, des preuves, à l’inverse des paroles et qu’il est important de retranscrire les connaissances à l’écrit pour transmettre le savoir. Aujourd’hui, par manque de temps, par facilité, nous écrivons de moins en moins de lettres et de messages par courrier postal en privilégiant les sms, mails et les notifications. Pourtant nous sommes nombreux à ressentir de la joie et de la reconnaissance à la réception d’une lettre ou d’une carte postale, signe que quelqu’un à pensé à nous et a pris le temps de le faire savoir. Alors en ce 12 décembre, si nous le pouvons, écrivons un message à un proche ou a quelqu’un que l’on a perdu de vue, message postal de préférence, ou un message non postal mais avec un contenu d’amour et de bienveillance qui apportera de la joie et du bonheur au destinataire.
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Ces périodes de fêtes exacerbent bien souvent les difficultés et les douleurs ressentis par le manque de nos proches disparus. Nous vivons le paradoxe intérieur de la joie de les savoir dans la gloire et la lumière de Dieu et la peine de l’absence physique que l’on a du mal à surmonter quel que soit notre foi... nous sommes également confrontés à tous les décès dont l’actualité nous inonde, éprouvant nos volontés d’être dans la joie de cette période de l’avent. « Les morts vivent tant qu’un seul vivant les porte encore en lui » (Jean d’Ormesson). Alors en ce 13 décembre, allumons un cierge, une bougie, une lumière pour tous nos défunts, pour tous les défunts, et laissons la joie de l’avent nous envahir à travers leur amour qui lui n’est pas mortel.
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La complexité de nos vies et la surabondance d’images qui finit par banaliser les faits les plus atroces, nous fait paradoxalement bien trop souvent oublier de remercier Dieu pour ses bienfaits. Il nous faut prendre du recul, ouvrir notre regard et retrouver notre cœur d’enfant pour réaliser notre chance et exprimer notre gratitude chaque jour. En ce 14 décembre, prenons le temps de remercier pour chaque chose que l’on voit ou que l’on ressent. Merci pour le levé de soleil, le couché de soleil, les jolies décorations et lumières, la chance d’avoir un toit, de manger, d’avoir des amis, une famille, la santé, de passer des bons moments, de surmonter les difficultés…tout est œuvre de Dieu et prendre conscience de notre chance nous met sur le chemin de la gratitude nécessaire à l’équilibre de nos vies.
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Il est plus que jamais nécessaire, dans ce contexte social de marasme et ce climat anxiogène permanent, d’être positif et surtout de partager le positif à tous les niveaux de nos vies avec autrui. Sans aller jusqu’à pratiquer la méthode Coué à tout prix, juste avoir la volonté de tendre vers le mieux en cultivant les pensées positives, en appréciant les situations sous un angle positif, en modifiant sa perception des choses de sorte à améliorer son bien-être et par conséquent celui des autres. Alors en ce 15 décembre, soyons les acteurs d’un quotidien meilleur en « configurant » d’une certaine manière notre cerveau en mode positif, en le contraignant à voir le verre à moitié plein et non à moitié vide, et répandons sans limite notre positivité toute la journée.
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Quel magnifique mot et concept évocateur pour avancer sur ce chemin spirituel et poursuivre ensemble ce calendrier de l’avent de la bienveillance. Le partage, c’est avant tout une valeur, le fondement de toute relation, le don de soi sans rien attendre en retour, une déclinaison de l’amour. Nous effectuons des partages de connexion, nous partageons des informations, des résultats, un savoir, un butin… Nous retrouvons aussi dans la notion de partage la notion de division pour répartir. Un mot finalement simple et complexe à la fois, anodin et lourd de sens en même temps.
Alors, en ce 16 décembre, nous vous proposons d’être dans le partage : avec nos familles, nos voisins, nos amis mais aussi avec des inconnus, le partage d’un moment, d’un regard, d’un sourire, d’une joie, d’une peine, d’un repas, d’un café…. Etc. Tout en continuant de s’émerveiller devant cette capacité que chacun de nous a, à donner de soi pour autrui par le partage.
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Voilà un pilier de notre religion qui est à la portée de tous, facile d’accès et dont les bénéfices sont multiples mais que l’on néglige bien trop souvent pour des raisons souvent fallacieuses et tronquées. La prière est une chose étonnante et mystérieuse à la fois. Elle ouvre la porte sur un autre royaume. Elle est accessible à tous et est gratifiante et rassérénante. Elle fortifie notre foi et donc notre volonté. A nous donc de savoir se dégager du temps pour prier, action gratuite et bienfaisante pour nos corps, nos esprits et nos âmes. Alors en ce 17 décembre, 3ème dimanche de l’avent, efforçons-nous de retrouver en nous la capacité d’accueillir Dieu et reconnaitre la chance que nous avons qu’il nous habite et nous aime et prions avec ferveur, sans contrainte ni modération.
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La bible nous recommande de nous aimer les uns les autres et d’aimer son prochain comme soi-même. Nous parlons bien sûr de l’amour en général, l’amour de l’autre, qui se donne sans rien attendre en retour et qui sème le bonheur et fortifie l’autre et le rend plus fort et plus heureux. Nos vies si prenantes nous font souvent oublier de regarder l’autre comme une personne que l’on peut aimer et nous renfermer sur nous même, par peur, dans une neutralité bien pratique mais peu satisfaisante. Pourtant, exprimer son amour à autrui c’est s’assurer de récolter des bénéfices innombrables, de nous aider à nous sentir mieux, plus tolérants, plus confiants et plus adaptés au monde qui nous entoure. Alors en ce 18 décembre, soyons prompts à nous ouvrir à l’autre en lui montrant que nous l’aimons et en le valorisant, afin qu’un climat d’amour s’établisse pour atteindre avec joie la lumière de Noël.
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Pour tout chrétien, le pardon est un acte d’amour qui se vit dans la grâce infinie de Dieu, mais il n’est pas pour autant aisé d’y parvenir et cela nous demande souvent beaucoup d’efforts éprouvants mais fortifiants pour notre foi. Le pardon est libérateur est il est l’apanage du fort, une arme puissante d’amour, une valeur fondamentale délivrée dans le Notre Père :« Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » L’action de pardonner est un mouvement libérateur, car un cœur guéri est un cœur capable d’aimer pleinement. Le pardon est un cadeau que l’on se fait à soi-même, mais aussi aux autres en augmentant notre estime de soi et qui nous apportera un sentiment de plénitude. Même si la route du pardon nous parait insurmontable, Dieu peut nous aider à l’atteindre et la satisfaction de l’avoir atteint nous apportera une sérénité et une plénitude inégalable. Alors en ce 19 décembre, essayons de nous ouvrir et d’avancer sur le chemin de Noël en intégrant le pardon à nos vies de façon sincère et loyale.
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L’aumône est un moyen pour nous de manifester la charité chrétienne, c’est une manifestation matérielle de l’amour du prochain, une action qui nous ouvre à l’autre, un geste d’amour qui vient du cœur et nous incite à prendre soin d’autrui. Nous sommes tous sollicités chaque jour par des demandes multiples de dons et croisons tous les jours des personnes dans le besoin, souvent à la même place, sur notre trajet, à un tel point qu’on ne les voit même plus. Il n’y a pas de petits dons, pas de notion de valeur dans le geste d’aumône. Alors en ce 20 décembre, ouvrons notre regard et notre cœur, prenons de notre précieux temps pour nous arrêter et donner, même le plus petit des dons, avec le sourire et dans l’esprit de Noël, sera reçu comme un trésor car il est un don d’amour avant tout.
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S’il semble évident que toute relation est basée sur la communication, dans les faits, il s’avère que ce n’est pourtant pas aussi facile. Un adage dit que « le silence est d’or et la parole est d’argent », mais tout est question d’interprétation, qui peuvent être différentes, voire contradictoires. Car le silence parle, il est d’or lorsqu’il parle mieux que des mots, et l’interprétation du silence varie en fonction des circonstances. Bien souvent, par peur du conflit, nous faisons un blocage de la communication en taisant les choses et en se plaçant dans des « non-dits » destructeurs. Pour une communication efficiente, il est nécessaire de se placer en capacité d’écoute avant tout, et ouvrir son esprit pour évaluer l’importance des choses à dire, en gardant toujours en tête, que la personne en face est une autre personne, avec son ressenti, et que les mots sont nécessaires. Alors, en ce jeudi 21 décembre, efforçons-nous de favoriser la communication, pour éviter les situations conflictuelles et les quiproquos si facilement évitables et qui empoisonnent nos relations au quotidien.
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Toujours très pris dans nos vies quotidiennes, nous ne prenons plus le temps d’être ouverts aux besoins des autres et ignorons la possibilité de rendre service à autrui. Pourtant, les occasions d’aider quelqu’un, de lui être utile, sont nombreuses lorsque l’on garde le regard et l’esprit ouvert à autrui. Accomplir une action bienfaisante et désintéressée est non seulement un acte d’amour, mais aussi un cadeau que l’on se fait à soi-même, car rendre service aux autres, c’est s’aimer, se respecter et se rendre service. Alors en ce 22 décembre, profitons de cet avent et de l’esprit de noël pour nous mettre dans l’état d’esprit d’éprouver du plaisir à rendre service, sans attendre que la personne le demande, juste en gardant le cœur ouvert.
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Avoir la foi, c’est croire, penser que quelque chose est vrai mais sans forcément en avoir la preuve. Croire avec des preuves, relève de la science et du savoir et non plus de la croyance. La foi est libre car elle relève de notre décision intime de faire confiance aux témoins qui nous parlent de Dieu et d’agir en conséquence dans nos vies. La foi réside dans nos cœurs et non pas dans nos pensées car elle est la démonstration des choses que l’on ne voit pas mais que l’on espère. Il existe des moments ou notre foi est mise à l’épreuve mais finalement, la foi est une force intime que personne ne peut nous enlever, nous sommes les seuls à pouvoir douter et ébranler notre foi. Alors, en ce 23 décembre, cultivons notre foi, en Dieu, en l’homme, pour avancer le plus sereinement possible dans la vie. Protégeons-la, car elle est un trésor inestimable dans nos vies, un guide et une force dont il est nécessaire de prendre conscience. Conduisons-nous humblement et dignement sur les bases de notre foi pour faire face aux différents maux et relever au mieux les défis que la société génère.
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La bienveillance est à notre portée à tous, et profitons de l’espérance et de la joie de noël pour la mettre en pratique, illuminer nos vies et sublimer nos relations avec autrui. La bienveillance est une volonté de prendre soin des autres, de prévenance et d’écoute de leurs besoins. Elle nécessite d’user de gentillesse et de douceur en mettant de côté les jugements pour une relation plus vraie et respectueuse. La bienveillance conduit chacun de nous à des actes de bonté. Penser et agir de façon bienveillante est un état d’esprit satisfaisant, une interaction bienfaisante, sans préjugé qui n’enferme pas l’autre et le reconnait et l’accepte avec ses différences. La bienveillance, c’est de la bonté qui s’applique à toutes nos relations de façon concrète en nous incitant à voir ce qu’il y a de bon en l’autre et en agissant pour son bien en toutes circonstances. Alors, en ce 24 décembre, soyons bienveillants en toutes occasions. La bienveillance fait du bien et n’apporte que du bien. Nous sommes tous capables de cultiver la bienveillance. Agir avec bienveillance ce n’est pas juste accomplir de bonnes actions de temps en temps, c’est plus profond que cela. Soyons reconnaissants de la bonté de Dieu et respectueux de son sacrifice, en faisant de la bienveillance notre mode de vie, en agissant pour autrui ce que nous aimerions qu’ils fassent pour nous. Profitons de la lumière de Noel pour magnifier nos vies en usant et abusant de la bienveillance comme notre Dieu nous en a donné l’exemple.
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Toute l’équipe d’Aineo vous souhaite un Saint et Joyeux Noël, profitons de ce merveilleux cadeau de l’amour et de l’espérance que nous a apporté la naissance de Jésus. Que la lumière de l’étoile de Noël éclaire notre chemin vers 2024 et remplisse nos cœurs de joie et de paix. C’est avec beaucoup de bonheur que j’ai partagé avec vous ce calendrier de l’avent de la bienveillance durant cet avent 2023. Je vous partage pour magnifier cet avènement , ce sublime texte du pape François qui illustre si bien ce jour de Noël.
Noël, c’est toi
quand tu décides de renaître chaque jour
et de laisser Dieu pénétrer ton âme.
Le sapin de Noël, c’est toi
quand tu résistes vigoureusement
aux vents et aux obstacles de la vie.
Les décorations de Noël, c’est toi
quand tes vertus sont les couleurs
qui ornent ta vie.
La cloche qui sonne Noël, c’est toi
quand tu invites à se rassembler,
et tentes de réunir.
Tu es la lumière de Noël
quand tu éclaires de ta présence le chemin des autres
par ta bonté, ta patience, ta joie et ta générosité.
Les anges de Noël, c’est toi
quand tu chantes au monde
un message de paix, de justice et d’amour.
L’étoile de Noël, c’est toi
quand tu conduis quelqu’un
à la rencontre du Seigneur.
Tu es aussi les Rois mages,
quand tu offres ce que tu possèdes de mieux
sans tenir compte de celui à qui tu donnes.
La musique de Noël, c’est toi
quand tu conquiers l’harmonie qui est en toi.
Le cadeau de Noël, c’est toi
quand tu te comportes en véritable ami,
en frère avec tous les êtres humains.
Les vœux de Noël, c’est toi
quand tu pardonnes et rétablis la paix,
même si tu souffres.
Le réveillon de Noël, c’est toi
quand tu rassasies de pain et d’espérance
le pauvre qui est auprès de toi.
Tu es la nuit de Noël
quand, humble et éveillé, tu reçois
dans le silence de la nuit
le Sauveur du monde
sans bruit ni grande célébration ;
tu es le sourire confiant et tendre
de la paix intérieure d’un Noël éternel
qui instaure son royaume en toi.
Joyeux Noël à tous ceux
qui se reconnaissent dans l’esprit de Noël.
Pape François, L’Esprit de Noël (éditions Michel Lafont)
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